Grâce au travail réalisé pour les vauclusiens, j’ai été ré-élu Député de la 5ème circonscription de Vaucluse avec Claude Melquior comme suppléant.
Menbre de la Commission des finances, de l’économie générale et du contrôle budgétaire.
Investi dans plusieurs groupes d’étude : Enjeux économiques de la filière industrielle énergétique ; Énergies vertes ; Parcs nationaux, parcs naturels régionaux et aires protégées ; Enjeux de la ruralité ; Rapatriés ; Sapeurs-pompiers volontaires ; Trufficulture ; Vigne, vin et œnologie ; Économie numérique de la donnée, de la connaissance et de l’intelligence artificielle.
Élu en 2015 vice-président de la Région SUD-Provence-Alpes-Côte d’Azur, délégué aux finances et à la rationalisation des dépenses.
Après la loi de non-cumul des mandats, conseiller régional en charge de l’énergie
Depuis octobre 2019, membre des instances du parti politique « Les Républicains » et notamment au Conseil stratégique.
De 2017 à 2019 secrétaire général adjoint en charge de la formation des cadres.
Conscient depuis plusieurs années de l’impasse idéologique et politique vers laquelle se dirigeaient Les Républicains, et qui s’est malheureusement confirmée lors de la dernière élection présidentielle, j’ai crée le 22 novembre 2017 Oser la France.
Oser la France, dont j’ai l’honneur d’assurer la présidence, se veut tout à la fois laboratoire d’idées et mouvement populaire, totalement indépendant de toute structure partisane.
Constitué de parlementaires, d’anciens parlementaires, de républicains des deux rives mais aussi de citoyens et d’intellectuels, Oser la France entend peser dans le débat public.
Grâce au travail réalisé pour les vauclusiens, couronné de nombreux succès, j’ai été ré-élu Député de la 5ème circonscription de Vaucluse avec Claude Melquior comme suppléant.
«Je m’appelle Julien Aubert, j’ai 38 ans et je suis député.
J’ai été élu pour mon premier mandat politique en 2012, et la phrase que j’ai le plus entendue en campagne est la suivante: «On va voter pour vous car vous n’êtes pas encore pourri.» Le lendemain de mon élection, ma présomption d’innocence a pris fin. Présumé coupable, je suis devenu malgré moi un salaud d’élu.»
Avantages, clientélisme, copinages, cumuls, retraites, immunités… : chaque jour les accusations pleuvent sur notre classe politique, et la radicalisation des idées ne cesse de s’étendre. Julien Aubert réfute ici un à un les maux dont on accuse notre système républicain. Son vécu, son humour et sa soif de justice sont ses meilleures armes.
Durant son premier mandat à l’Assemblée nationale, Julien Aubert fut membre de la Commission du développement durable et de lʼaménagement du territoire, co-président du groupe dʼétudes « Énergies », vice-président de la Commission spéciale pour l’examen du projet de loi relatif à la transition énergétique pour la croissance verte et vice-président des groupes dʼétudes « Gaz de schiste » et « Internet et société numérique ». Il a présidé la Mission d’Information sur la faisabilité technique et financière du démantèlement des infrastructures nucléaires.
En 2009, Julien Aubert devient responsable du pôle « Affaires économiques et financements de projets » de l’organisation intergouvernementale de l’Union pour la Méditerranée auprès du président de la République Nicolas Sarkozy.
À sa sortie de l’ENA, Julien Aubert a travaillé à la première chambre de la Cour des comptes, où il fut notamment en charge des affaires économiques et du contrôle du ministère de l’Économie et des Finances.
17e de la promotion « Léopold Sédar-Senghor », où se trouve aussi Emmanuel Macron.
Diplômé d’un master en relations internationales de l’université Johns-Hopkins à Washington au États-Unis
Diplômé de Sciences Po Paris, Julien Aubert a été ensuite maître de conférences de 2013 à 2019 dans la même prestigieuse école.
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